• « Et il fait ses nuits ? » c’est LA question que tu entends systématiquement quand tu es parent.

    On te la pose d’ailleurs tant que la réponse ne sera pas « oui » !

    Et encore même quand tu dis oui tu peux encore avoir droit à « Il se couche à quelle heure et se réveille à quelle heure ? ».

     

    Non pas que les gens se soucient réellement du sommeil de ton bébé ou du tien, mais ça fait partie des normes, des choses à accomplir le plus vite possible par un bébé.

    Alors bon, déjà il fait SES nuits et les siennes ne sont pas les miennes et encore moins les vôtres.

    Et pour avoir eu des enfants qui dormaient très mal, je peux vous dire que tout est relatif.

     

    Big Brother a fait des nuits complètes à 22 mois. Avant il se réveillait toutes les 2 ou 3 heures et c’était assez compliqué de le rendormir. 

    Bercements, câlins, chansons, jusqu’à ce qu’il se rendorme enfin. Ce qui n’était jamais gagné puisqu’il souhaitait ne rien manquer de ce qui se passait jour ET nuit.

    Puis des nuits complètes de 11h maximum. Ce qui peut paraître peu pour un jeune enfant mais qui est énorme pour un parent fatigué et en manque de sommeil !

     

    Deux mois plus tard, la naissance des twinnies. 

    D’un côté nous avions Electroboy qui dormait longtemps et profondément et de l’autre Caliboy qui se réveillait en pleurs chaque heure ou presque.

    Je peux vous dire que j’en ai versé des larmes pour le rendormir et j’en ai essayé des méthodes (sans succès !) pour l’aider à trouver un sommeil plus reposant.

    Ça n’aura duré QUE jusqu’à ses 3 ans et demi... Moment précis qu’a alors choisi Electroboy pour se réveiller en hurlant toutes les nuits pendant environ 6 mois.

    Et quand ça s’est apaisé, il y avait toujours des périodes de rechutes pour l’un ou pour l’autre.

    Nous avons donc cumulé 22 mois sans nuits complètes suivies de 3 ans et demi puis de 6 mois de bonus.

    Autant vous dire que quand j’entendais quelqu’un se plaindre d’une mauvaise nuit de sommeil ou d’un réveil unique et exceptionnel de son enfant je riais jaune. 

    Oui le manque de sommeil ça rend méchant. 

     

    Alors quand on me demande si Babyfae fait ses nuits je réponds oui et pour moi il les fait.

    Il réclame plusieurs tétées la nuit mais sans pleurs, sans cris, les yeux fermés et en se rendormant instantanément après. Alors oui selon moi il fait ses nuits.

    Peut-être que pour vous ça n’est pas le cas car tout est relatif finalement.

    Mais quand on a cumulé des années de vraies nuits de galère, des micros réveils pour téter, ça n’est rien du tout !

    Alors oui ça m’empêche souvent de me rendormir mais c’est surtout parce que mon cerveau se met en marche et que je n’arrive pas à l’arrêter ou parce que je contemple le visage si paisible et si craquant de Babyfae qui dort si sereinement.

    Il fait SES nuits mais je ne fais pas les miennes. Ça intéresse quelqu’un ou la question ne concerne que les bébés ?


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  • Depuis la naissance de Big Brother et d’autant plus depuis la découverte de son hypersensibilité, je me suis souvent reconnue en lui.

    J’ai toujours dit qu’il était mon miroir et c’est en ça que notre relation est si compliquée. 

    Tout ce que j’ai enfoui profondément en moi, il me le renvoie en pleine figure et en pleine puissance car lui le vit sans filtre et en direct, ce qui me déstabilise bien trop souvent.

    Une émotion enfouie n’est pas vécue et n’est donc bien évidemment pas extériorisée et encore moins facile à identifier ou à apaiser. 

    En gros, Big Brother est la tempête qui me rappelle qui je suis et pour l’instant mon manque de gestion des émotions ne rend pas la chose facile ni agréable pour moi alors je lutte. Comme je l’ai toujours fait. 

    Ce qui m’a récemment aidée c’est de reprendre ma thérapie avec le psy (qui est également celui de Big Brother) qui m’a confirmé mon hypersensibilité en me disant justement « J’ai l’impression d’entendre votre fils » pendant l’une de mes séance.

    Et honnêtement ça fait du bien parce que quand on est hypersensible on entend souvent : « Mais tu prends les choses TROP à cœur », « Tu es TROP sensible », « Ne prend pas les choses comme ça », « Tu en fais TROP », etc...

    Je ne me suis jamais sentie comme les autres, toujours en décalage et quand j’entends mon fils me dire qu’il est différent je suis partagée entre l’envie de lui dire que pour autant, il sera toujours logé à la même enseigne que les autres (notamment à l’école) et que sa différence est comme un super pouvoir lui permettant de mieux appréhender le monde.

    Un super pouvoir qui, mal géré, peut devenir une super tare dans ce monde remplit de jugements et de personnes dures et endurcies. (Il y a une nuance entre ces 2 termes selon moi. Les premières le sont plus naturellement, les secondes l’ont plutôt subi. Mais ce n’est que mon propre avis bien sûr.)

    Un super pouvoir qui nous rend à fleur de peau, passionné, virulent, créatif, inerte, amoureux, optimiste, négatif et j’en passe.

    Un super pouvoir qui souffle le chaud et le froid et qui nous laisse rarement de répit.

    Les émotions positives sont intenses, débordantes, sincères et passionnées. Tout comme le sont les émotions négatives et dans les deux cas ça peut être difficile à gérer pour nous comme pour l'entourage.

    Une émotion vécue de manière  TROP forte  qu’elle soit bonne ou mauvaise est toujours mal vue par l’extérieur. D’autant plus dans une société où les émotions de manière générale sont mal vues, mal connues et rarement entendues.

    Être hypersensible c’est être « TROP » et entre se sentir « TROP » et « de TROP » il n’y a parfois qu’un pas à franchir. 

    Un pas que j’ai franchi il y a bien longtemps et pour lequel j’ai du mal à faire machine arrière. 

    Un pas que je risque de faire franchir à mes fils car oui je vous parle énormément de l’hypersensibilité de Big Brother mais en réalité Electroboy et Caliboy le sont également. Et ça s’exprime de manière différente chez eux : notamment des colères explosives et des joies hurlantes et limite agressives chez Electroboy et une extrême conscience de l’autre et de ses besoins pour Caliboy, associée à un « petit cœur » comme on dit parfois (comprenez qu’il pleure très facilement quand il est contrarié). 

    Être hypersensible c’est aussi et surtout recevoir des « leçons de vie » de la part des autres « mais arrête de réagir comme ça ça ne sert à rien », « tu devrais faire comme ci ou comme ça », « tu ne devrais pas prendre les choses à cœur », « tu pleures vraiment pour un rien ! » et j’en oublie sûrement.

    En fait quand on est hypersensible on est TROP dérangeant pour les autres parce qu’on vit les émotions de manière TROP intense mais en réalité maintenant, j’ai juste envie de leur répondre à tous que « je suis ASSEZ » (poke Maman Orange) et que j’en ai assez de déranger. Je suis moi, je suis comme je suis, mes enfants sont comme ils sont et tant pis pour ceux que ça dérange. 

    Être hypersensible

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  • La diversification alimentaire a été une étape très difficile pour Babyglu. Il a accepté les premières purées mais a eu énormément de mal quand il a fallut intégrer les morceaux.

    Au départ, je pensais qu'il n'aimait pas le mélange des textures (lisse avec morceaux) et au fil du temps je me suis aperçue qu'en réalité, il était écœuré plus qu'autre chose par la nourriture.

    Dans un premier temps, je me suis inquiétée, d'autant plus que Babycool était l'opposé niveau alimentation. Et puis j'ai constaté qu'il continuait de bien s'éveiller, grandir et grossir. Il arrivait même parfois à être un peu plus "gros" que Babycool malgré son centimètre en moins.

    Il n'avait jamais le ventre vide puisque ce qu'il ne mangeait pas, il le buvait en lait. Il consommait énormément de biberons de lait, ce qui fait qu'il avait certaines carences mais son estomac se remplissait tout de même suffisamment pour bien évoluer. Le pédiatre m'avait d'ailleurs confirmé qu'il n'y avait aucune inquiétude à avoir.

    J'ai donc lâché du lest et je me suis contentée de lui proposer ce que je faisais à manger pour les autres. Si il en voulait je lui en donnait, sinon il avait son biberon.

    Il faut savoir que la nourriture l’écœurait tellement qu'il en avait des hauts le cœur et malgré ce que certains ont pu penser, non il ne simulait pas.

    J'avais d'ailleurs prévenu le personnel de la cantine de ne surtout pas le forcer, ce qu'ils ont bien respecté tout au long de l'année.

    Le premier jour du centre aéré, la personne qui s'occupait de Babyglu est venue me voir affolée en me disant "Il n'a rien mangé du tout ce midi". Je l'ai rassurée en lui disant que c'était habituel et que les rares fois durant lesquelles il mangeait c'était un exploit. 

    Et puis début août, j'ai proposé à Babycool et Babyglu de supprimer les biberons. Mon "excuse" étant qu'un bébé allait arriver et se nourrirait lui exclusivement de biberons (bien que je compte allaiter mais chut ^^).

    Ils ont tous les deux acceptés et je leur ai fait choisir une gourde avec paille afin de palier à cette perte.

    Mais la gourde choisie par Babyglu ne lui convenait pas et il s'est énervé dessus au point de refuser d'y boire et a ainsi supprimé le lait de son alimentation. 

    Encore une fois je l'ai suivi, sachant qu'il se connaissait suffisamment pour connaître ses besoins. 

    Et c'est alors qu'il s'est mis à manger ! Normalement, comme tout le monde, en demandant à goûter à tout ce qu'il voyait.

    Et depuis il nous épate chaque jour en mangeant les mêmes assiettes que ses frères, parfois même plus et on voit qu'il se régale vraiment, prenant le temps de déguster son assiette.

    Pourquoi je vous raconte ça ? Parce que j'ai souvent reçu des messages privés de mamans inquiètes me demandant comment aider leurs enfants à manger. Je n'ai jamais su trop quoi répondre d'ailleurs puisque personnellement je ne faisais rien d'autre que suivre mon fils. 

    Ce n'était pas "céder à ses caprices" ou me "plier à ses exigences" comme j'ai pu l'entendre mais simplement respecter son rythme. Et ce qui a surtout fait la différence pour moi, c'est de cesser de m'inquiéter. 

    Ok il ne mangeait pas ou peu mais il allait bien et c'était bien là le plus important.

    Aujourd'hui, en voyant son évolution en si peu de temps, je m'aperçois que j'ai bien fait de lui faire confiance.

    Quand à lui, il a hâte de retourner à la cantine pour leur montrer comme il mange désormais "comme un grand".

     

    A chacun son rythme


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  • L'EFT c'est quoi ?

    "L’EFT consiste à rééquilibrer le système énergétique du corps.

    L’énergie circule dans tout le corps à travers un système de méridiens. Les méridiens sont des canaux invisibles répartis dans tout le corps qui transportent l’énergie vers les organes et les différents systèmes.

    Si les méridiens ne sont pas des structures physiques on peut toutefois les comparer au circuit électrique d’une maison ou aux veines et aux artères dans lesquels circule le sang.

    Pour être en bonne santé il est obligatoire que notre système énergétique soit équilibré. Toutefois tout au long de la journée il est perturbé, la plupart du temps il se rééquilibre tout seul sans que nous le sachions. Lorsque l’énergie circule avec fluidité dans nos méridiens, nous nous sentons bien physiquement et moralement.

    Mais dans la vie nous sommes toujours à un moment ou à un autre soumis à du stress, un traumatisme qui du coup empêche notre énergie de circuler librement. Si nous ne faisons rien, ces blocages entrainent des dysfonctionnements physiques ou émotionnels, voire les deux.

    L’EFT à la particularité d’être une technique simple, rapide et efficace, elle permet de se libérer purement et simplement de ces blocages afin que l’énergie circule de nouveau librement et de ce fait que nous retrouvions notre état naturel de santé et de bien-être."

    Source

     Mon expérience

    Cela faisait longtemps que je voulais tenter l'EFT à la maison mais n'y connaissant strictement rien, je ne savais pas du tout par où commencer.

    J'ai donc cherché un peu sur le net et c'est là que j'ai découvert le site Doudou Zen qui propose tout un lot de supports pour bien démarrer l'EFT pour les enfants et aussi pour les parents.

    L'EFT pour s'apaiser

    Quand j'ai reçu mes supports, j'ai vite installé les points EFT sur un doudou de la maison grâce au kit doudou zen et je l'ai présenté aux garçons lors d'un moment calme.

    Etant très intrigués par le nouveau look de leur doudou, j'ai pu leur expliquer ce que les coeurs signifiaient et leur faire tapoter les différents points sur leur propre corps.

    Le soir même, suite à une "crise" de Babyglu, j'ai pratiqué moi-même l'EFT sur lui et j'ai été bluffée de le voir s'apaiser en moins d'une minute, lui qui est si souvent pris au piège de ses émotions négatives.

    Et depuis, je le vois régulièrement se tapoter le haut du front (le point le plus facile à retenir) quand il est en colère et il le fait même à ses frères quand ils ne sont pas bien.

    Grâce à la roue des émotions ils peuvent également mieux exprimer ce qu'ils ressentent tout en cherchant au dos une solution qui pourrait les apaiser (en plus de l'EFT).

     

    Les supports Doudou Zen nous ont vraiment permis de découvrir une nouvelle méthode très efficace et que je ne peux que conseiller aux parents pour aider leurs enfants à évacuer leurs émotions et à utiliser sur eux-mêmes également.

    Les supports sont jolis et de qualité, ils se fondent dans le décor d'une chambre tout en étant très utile pour rappeler à l'enfant que l'EFT peut l'aider. 

    En bonus, je vous mets le lien de La chanson de l'EFT qui peut également vous aider pour rendre cette pratique encore plus ludique.


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  • Quand on a un enfant à haut potentiel, une question revient régulièrement « Alors il a combien de QI ? ».

    La plupart des gens pensent qu’on en rajoute ou qu’on se vante alors ils ont besoin d’un chiffre pour se repérer.

    Mais qu’est-ce que ça changera pour eux de le savoir ? Qu’est-ce que ça leur apportera ? Ça validera ou non leur jugement ? Ça leur fera changer de regard sur mon fils ? Ça leur donnera une étiquette de plus à lui coller ?

    Le psychologue qui le suit nous a proposé de le faire tester d’ici l’année prochaine.

    « Tester » ce mot est tellement étrange dans ce contexte. Mon fils serait donc un rat de laboratoire qui doit répondre à des critères prédéfinis pour rentrer dans des cases...

    Ce n’est définitivement pas ce que je souhaite pour lui.

    Nous n’avons pas instauré un suivi avec un psychologue de confiance pour le définir mais pour le comprendre afin de l’aider de la meilleure façon possible. C'est d'ailleurs avec respect qu'il nous a proposé ce test sans nous l'imposer.

    Je ne sais donc toujours pas si j’accepterai qu’il soit « testé » car je me fiche de connaître son QI ! Ça ne changera strictement rien pour lui, pour nous.

    Et d’ailleurs si je changeais d’avis, je n’irais pas donner ce chiffre au premier curieux qui passe. Je trouve cela bien trop personnel.

    Mais par dessus tout ce que je souhaiterais que les gens comprennent c’est que non je ne me vante pas du potentiel de mon fils. J’en parle ici pour me soulager et de visu quand on m’interroge sur les capacités de Big Brother. J’en dis d’ailleurs toujours le minimum afin de ne pas attiser la curiosité. Mon fils n’est pas une bête de foire.

    Et à tous ceux qui me répondent que c’est bien pour lui ou qu’il est « drôle » (si si je l’ai déjà entendu et pas uniquement dans le sens "marrant"), qu’il faut le pousser telle une bête de concours ou qu’il a de la chance, j’ai juste envie de vous dire « stop, occupez-vous de vos fesses et allez voir ailleurs si j’y suis ! » (dans ma tête c’est beaucoup plus vulgaire he)

    Parce que non ce n’est pas une chance et bien que je sois fière de lui, j’aurais tellement souhaité qu’il ne soit pas confronté à tout ça.

    Qu’il puisse vivre sa vie d’enfant sans angoisses d’adulte, sans avoir besoin de me dire que sa « tête tourne à cause de toutes les pensées qui se mélangent dedans », sans qu’il me supplie de faire stopper cette douleur dans sa « tête en feu ».

    Si il y a bien une chose que je peux vous assurer c’est que je déteste ce potentiel qui le fait souffrir, qui nous fait souffrir, qui ne lui laisse aucun répit, qui provoque des tensions au sein de toute la famille au point de tous nous déconnecter de nos émotions.

    Je ne le vois pas comme un don mais comme un fardeau bien trop lourd pour ses jeunes épaules. Tellement lourd qu’il s’abat implacablement sur notre foyer tel un démon énergivore.

    C'est une gangrène qui le ronge intérieurement tant il a du mal à garder le contrôle. Un cerveau qui fonctionne vite c'est bien, mais quand il ne s'arrête jamais c'est dur. Il l'emmène loin, beaucoup trop loin pour sa maturité émotionnelle. Et l'opposition des deux donne un cocktail explosif, pour lui comme pour nous.

    Alors non avoir un enfant à haut potentiel n'est pas une chance, ni pour lui ni pour nous. Il aura peut-être plus de chances de réussir comme il aura sûrement plus de chances d'échecs aussi car le système scolaire n'est pas adapté.

    "Mettez le dans le privé" m'a-t-on dit. Je ne suis pas spécialement pour les écoles privées mais j'avais envisagé cette option si ça pouvait l'aider, si l'équipe enseignante en question pouvait s'adapter à sa particularité. 

    Mais en me renseignant sur la fameuse école, je n'y ai trouvé que tout l'opposé de ce que je cherche pour lui. Des colles dès l'âge de 6 ans, aucune empathie, un potentiel pris en compte certes mais l'enfant en revanche n'a rien à dire, juste à obéir, à entrer dans une case et à ne jamais avoir son mot à dire sous peine d'être puni ou renvoyé.

    Je souhaite qu'il apprenne à obéir d'avantage certes, mais pas à ce prix là. Obéir c'est bien mais quand on comprend c'est bien plus pérenne. Je ne souhaite pas qu'une école en fasse un mouton docile et formaté.

    Mon fils est un enfant avant tout, un enfant ! Son potentiel fait partie de lui mais ne le définit en aucun cas. Et si comme tout parent, je souhaite qu'il réussisse dans la vie, ça n'est pas dans une optique financière, mais plutôt qu'il soit heureux, qu'il connaisse le bonheur pur et simple.

    Et ce potentiel l'empêche actuellement d'être heureux donc non je le répète ce n'est pas un cadeau. 

     

    Avoir un enfant à haut potentiel

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