• A force de persévérance et de postulats (notez comme je cause bien ;-)) j'ai eu la chance d'être sélectionnée par Famili / Avis de Maman pour tester la veilleuse portable softpal Spiderman de Philips. Un nom à rallonge pour une toute petite veilleuse (12,5 cm de hauteur pour un diamètre de 6,5cm) qui ravit Big Brother.

    Rendez-vous compte, Spiderman veille sur lui du haut de sa tête de lit !! 

    J'ai tout de suite trouvé la veilleuse assez mimi "pour un truc Spiderman". Soyons honnête, les produits dérivés Spiderman ce n'est pas ma tasse de thé d'habitude. Mais là je trouve le design assez soft et enfantin, ce qui adoucit le personnage. Et allumée elle est encore plus jolie car elle diffuse une lumière toute douce. 

    Quand je l'ai déballée, j'ai était surprise de constater que la tête était souple. Elle s'enfonce quand on appuie dessus. Mais après 2 secondes de réfléexion (oui, oui, ça m'arrive !) j'ai compris que c'était pour éviter de blesser les enfants et d'amortir les chocs en cas de chute. C'est donc parfaitement bien pensé.

    La prise est main est très facile pour un enfant du fait de la petite taille de la veilleuse. Et pour l'allumer c'est tout aussi simple, il suffit de la basculer sur le côté et de recommencer pour l'éteindre. Mais pas de panique, elle s'éteint toute seule au bout de 5 minutes si Big Brother la laisse en plan ou s'endort avec. Ça permet donc de ne pas se ruiner en piles !

    D'ailleurs, elle fonctionne par LED, ce qui consomme peu et est totalement sécuritaire puisqu'elle ne chauffe pas même en restant allumée longtemps. Ben oui, elle ne s'allume QUE 5 minutes d'affilé, donc c'est trop tentant de la rallumer encore et encore, et encore et encore...

    J'étais donc peu convaincue par ce produit sur le papier mais au final, c'est une agréable surprise. C'est un produit que je n'aurais probablement jamais acheté mais qui a désormais une place de choix dans la chambre de Big Brother et qui peut faire un chouette cadeau pour un petit bout fan de super héros Marvel ou Disney (Winnie, Mickey, Reine des Neiges...).

    Contrairement à mes habitudes, je n'ai pas retouché les photos afin de vous montrer les véritables couleurs de la veilleuse.

     


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  • Les préparatifs

    Quand on a un enfant, on a tendance à dire que chaque déplacement est une expédition. Je le sais, je lai moi-même souvent dit en ayant un seul enfant et c'est assez vrai finalement.

    Il faut emporter la poussette, le sac à langer avec le lait, le plat et / ou le goûter, une tenue de change, prévoir assez de couches et le lit parapluie quand on part pour la soirée ou un week-end.  Ça fait déjà une flopée de choses à emporter.

    Maintenant, on multiplie tout par deux et on a le nécessaire pour sortir avec des jumeaux. Autant vous dire qu'il faut prévoir un coffre assez grand pour pouvoir tout caser une fois la poussette double installée. Chaque déplacement doit être doublement pensé et préparé. 

    C'est évidemment un automatisme mais il ne faut rien oublier et ne surtout pas se tromper quand, comme ici, les laits sont différents par exemple. Ce sont certes des détails auxquels on ne réfléchis même plus une fois l'organisation bien mise en place mais il ne faut rien négliger. 

    "L'effet jumeaux"

    Malgré tout, ça n'est pas le plus compliqué quand on doit sortir avec des jumeaux. On se rend vite compte qu'on ne peut plus sortir de manière anonyme. Les gens sont inlassablement attirés par l'effet jumeaux.

    C'est une chose que je peux comprendre, la gémellité intrigue. Mais ce qui me dépasse c'est la familiarité que se permettent ces mêmes personnes. Tous les parents de jumeaux ont entendu les classiques RALC (Remarques A La Con) dont les plus courantes sont "Ce sont des vrais ?", "C'est naturel ?", "Quelle horreur !", "C'est beau chez les autres !" ou encore "Vous préférez lequel ?"

    J'ai beau savoir que ça n'est pas méchant mais je peux vous assurer que quand on l'entend à chaque sortie, ça devient très vite lassant. J'avoue qu'il m'est même déjà arrivé de penser à éviter certaines sorties. Mais on ne peut pas non plus rester dans sa bulle de confort en permanence ! 

    L'accessibilité

    Une autre chose que l'on découvre rapidement en sortant avec une poussette double c'est le manque d'accessibilité. 

    Au départ, nous avons opté pour une poussette double face à face, nous disant qu'elle passerait partout et que nous ne serions pas embêtés. Mais c'était sans compter sur la longueur de la poussette qui peut être un handicap dans certains vieux bâtiments par exemple où les couloirs sont exigus ou tout simplement dans certaines maisons qui ont une minuscule entrée, comme chez ma nounou. Heureusement que le guidon est télescopique et permet donc de gagner quelques précieux centimètres quand on le rabaisse. 

    Nous avons ensuite investi dans une poussette double côte à côte et là, après le problème de longueur, se pose fatalement le problème de largeur ! Car oui, qui dit poussette double dit obligatoirement passage restreint ! Et pourtant, le modèle que nous avons choisi est plutôt petit (80cm). Elle passe toutes les portes standards mais pour certaines caisses nous devons emprunter les caisses réservées aux personnes handicapées. 

    Dans certains magasins où les allées ne sont pas très larges, le passage est également délicat et c'est donc parfois dissuasif. Quand on voit qu'on risque de galérer à devoir revenir régulièrement sur nos pas, on rebrousse vite chemin. 

    Il arrive aussi que les trottoirs ne soient pas assez larges pour accueillir la poussette et on se retrouve à devoir passer directement sur la route, juste à côté des voitures, ce qui est loin d'être rassurant !

    Et je vous épargne les quelques marches à l'entrée de certains magasins qui sont déjà difficiles d'accès avec une poussette simple mais le sont d'autant plus quand le poids de la poussette est additionné de deux bébés !

    Je vous avoue que ça m'a vraiment ouvert les yeux sur le fait que l'accès aux personnes en fauteuil est encore très limité. Pour nous ces galères vont s'arrêter dans quelques années mais pour eux, c'est à vie et ça a beaucoup de mal à évoluer. 

    Les caddies

    Le dernier point que je souhaitais aborder est celui des caddies. En effet, nous faisons principalement nos courses sur les drives mais il nous arrive d'aller directement dans les magasins. Et là, heureusement que nous y allons ensemble avec Dad en Vrac car l'un de nous peut prendre un caddie pendant que l'autre prend la poussette. En effet, rares sont les grandes surfaces qui proposent des caddies avec une double assise et même quand il y en a il y en a peu de disponibles. D'ailleurs, je ne saurais citer qu'un seul magasin près de chez moi qui en a et c'est grâce à l'association Jumeaux et plus de ma région qui en fait la demande à plusieurs reprises. 

    En résumé, se déplacer avec des jumeaux demande une bonne organisation en amont et même avec ça, on peut avoir bon nombres de surprises, plus ou moins agréables, durant la ballade. 

    Découvrez les autres articles de la #TeamMultiples sur ce sujet :

    Poulpettes à Paillettes

    Maman Pouce 1 et 2

    Twins and Us

    Maman Double Mixte

    Sweet Daddy

    Se déplacer avec des jumeaux #RDVTeamMultiples

     


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  • J'ai le cœur si lourd que je ne sais pas par où commencer. Nous sommes le 17 novembre 2015 et je n'arrive pas à accepter l'inacceptable. Je me refuse à prononcer certains mots par peur de les rendre trop réels et pourtant ils me hantent, surtout un en particulier.

    Un mot si lourd de sens, si loin de tout ce que j'ai toujours souhaité pour vous. Un mot que j'aimerais que vous n'entendiez jamais, qu'aucun enfant ne devrait jamais entendre d'ailleurs. Je ne suis pourtant pas du genre à me voiler la face mais la peur semble me faire dérailler. Car oui j'ai peur.

    Depuis 3 jours mon cœur s'emballe en permanence. Depuis 3 jours je tremble et je retiens mes larmes quand je dois m'éloigner de vous ou de votre père. J'ai l'impression de ne jamais m'être vraiment réveillée ce samedi 14. Je suis piégée dans ce moment où j'ai lu les nouvelles, l'horreur du VENDREDI 13 NOVEMBRE 2015, le sang, les cris, les larmes, LES MORTS, tellement de morts... Des personnes comme vous et moi qui étaient juste sorties s'amuser, prendre un verre, voir un match de foot ou aller à un concert. Des personnes qui étaient juste au mauvais endroit au mauvais moment et qui sont devenues les victimes de l'ignorance et de la barbarie.

    De l'ignorance car les monstres qui les ont tuées l'ont fait au nom d'un Dieu, Allah, qui n'a jamais demandé une telle infamie. Voici un extrait du Coran, qui est soit-disant le texte sur lequel ils s'appuient :

    Mes amours, ma vie, mon futur

    Et de la barbarie car il n'y a pas d'autres mots pour décrire de tels événements ; des attentats. Je ne souhaite pas faire un débat sur la religion mais vous savez que je respecte les croyances de chacun et j'espère que vous en ferez de même. Je tiens juste à vous montrer qu'il ne faut pas faire d'amalgame. Les musulmans ne sont pas des terroristes. La différence est simple. Les musulmans sont des croyants au même titre que les chrétiens par exemple et les terroristes sont des monstres de barbarie. Et ceux-là, on ne peut pas les chasser avec vos sprays anti-monstres malheureusement.

    Depuis ce samedi, je vois des cibles potentielles partout. Les gens préparent les fêtes, les magasins sont bondés. Les centres commerciaux ne désemplissent pas. Nous habitons une petite ville mais proche d'une plus grande ville avec un célèbre stade de foot récemment rénové. Une ville où s'est également installée l'annexe d'un grand musée parisien il y a quelques années. Je ne veux pas être parano mais je ne peux pas ne pas y penser. Je ne peux pas fermer les yeux et c'est d'ailleurs de nuit que je vous écris.

    Je ne me sens pas légitime de ressentir ce genre de choses car j'ai eu la chance de ne perdre aucun proche. Nous avons été préservés mais je ne peux m'empêcher de penser à toutes ces familles brisées. Et la pensée de pouvoir vous perdre un jour me hante.

    J'ai peur de partir et de ne plus jamais rentrer pour prendre soin de vous. J'ai peur que votre père parte au travail sans avoir l'occasion de revenir. Mais plus que tout, j'ai peur de recevoir un appel m'annonçant qu'il vous est arrivé quelque chose. Comment pourrais-je continuer à vivre après ça ?

    Je m'excuse platement auprès des familles qui ont vécu ce drame et qui doivent me trouver fort égoïste mais je ne parviens pas à faire taire cette angoisse. 

    Vous savez bien que je suis de nature angoissée et que vous perdre a toujours été une grande terreur pour moi, comme pour tous les parents évidemment. Mais là ça s'est accentué au point que je pars travailler les larmes aux yeux, que je descends du train au bord de la crise d'angoisse jusqu'au moment de vous retrouver.

    Ces 10 dernières années, votre père et moi n'avons eu de cesse de nous battre pour construire la vie que nous avons aujourd'hui. Pour vous avoir, pour vous offrir LA maison, pour que vous ne manquiez de rien. Et maintenant que tout est en place, que tout roule, nous allons peut-être devoir nous battre pour vous garder en sécurité, sécurité qui n'existe plus nulle part ! 

    Je perds pieds et je perds foi depuis ces derniers jours. Mais vous me connaissez, quand vous lirez cette lettre, peu importe dans quelles circonstances cela arrivera, vous saurez que votre mère avait besoin d'écrire afin de d'évacuer et de rebondir. Car poser ces mots me fait du bien. 

    Je ne vous parle de rien aujourd'hui car vous êtes tous si petits. Je sais que tu es capable de comprendre l'essentiel Big Brother, je n'ai aucun doute là dessus. Et c'est justement pour ça que je souhaite d'autant plus te préserver. Tu n'as que 3 ans et personne n'a le droit de te voler ton enfance et ton innocence, encore moins ces barbares. Tant que je pourrais vous préserver, je le ferai. C'est quelque chose que ces monstres n'auront pas. 

    Je ne souhaite pas vous mettre dans un cocon. Je vous ai toujours parlé de tout mais pas ça, pas maintenant. Je veux continuer à vous voir vous endormir dans des endroits incongrus, à croire au Père Noël, à vous battre pour un jouet, à danser dès que vous entendez la moindre note de musique, à vous émerveiller du moindre détail qui vous attire. Et je vais vous avouer une chose, c'est ça ma drogue, mon essence, c'est ça la vie tout simplement !

    C'est vous qui avez tout compris et c'est vous qui serez les hommes de demain, vous que j'essaye d'élever dans la tolérance et la bonté, vous qui me donnez l'espoir et la force, vous qui je l'espère ne jugerez personne sur sa couleur de peau, ses orientations religieuses ou sexuelles.

    Je tenais à vous écrire pour apaiser mon cœur et vous laisser une trace de ce moment historique car le devoir de mémoire est primordial. Indirectement vous avez vécu ce drame et vous devez savoir ce qu'il s'est réellement passé. C'est pourquoi, j'ajoute une édition du journal Le Monde du 14/11/2015 dans votre boîte à souvenirs, tout en espérant pouvoir un jour mettre celle qui annonce la fin de cette folie.

     

    Mes amours, ma vie, mon futur

    Source Photo (coloring by me)

     


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  • Il y a des choses dans la vie qui vous changent à tout jamais. Elles sont parfois anodines, parfois insignifiantes et pourtant elles sont là et laisseront une trace indélébile.

    Je n'oublierai jamais ce dimanche 10 octobre 2004.

    Ce n'est pas tant la date qui me parle, bien qu'elle marque un bouleversement dans ma vie, un changement irréversible. Non c'est quelque chose de plus simple finalement que je n'oublierai jamais. 

    Un regard. Froid. Glaçant. Perçant. Vert.
    Elle avait la phobie des serpents et pourtant, tout dans son regard, à cet instant, avait la froideur du reptile. 

    Un regard qui m'a brisée, détruite. 
    Pourtant accompagné d'une simple phrase, somme toute très banale, "Pourquoi tu ne pars pas maintenant ?".

    Un repas jamais terminé. Un sac à dos rempli en 5 minutes. Des clés réclamées. Et l'attente...

    Seule dans la rue, n'appartenant plus à aucun endroit, plus à personne...

    Du haut de mes 19 ans, j'attendais qu'on vienne me chercher tout en sachant que tout ce que j'avais pu sauver de ma vie se tenait dans un sac à dos. 

    Tout en sachant que peu importait qui viendrait me chercher, je n'avais plus de toit. 

    Je n'avais plus de mère... 

    Le regard

    Crédit Photo Neslihans


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  • Cela fait déjà un petit moment que je souhaitais vous parler d'un petit plus vestimentaire qui est devenu indispensable dans la garde-robe de mes fils.

    Il s'agit du bandana-bavoir de Funky Giraffe. Vous connaissez probablement le principe et même la marque. Il s'agit d'un bandana qui a été créé à la base pour éviter de devoir mettre un bavoir en permanence ou de changer bébé plusieurs fois par jour lors des poussées dentaires. 

    Mes fils restent donc classes et peuvent baver à foison sans que leurs vêtements ne soient jamais inondés ! Et honnêtement c'est très pratique de n'avoir que le bandana à changer dans la journée. Car oui oui j'ai des petits limaçons, enfin surtout un, qui m'en usent plusieurs par jours. 

    J'avais découvert cette marque au détour d'un blog et j'avais voulu tenter car Big Brother était en pleine poussée dentaire et je n'en pouvais plus de le changer 5 fois par jour et de voir son petit cou rougi par la bave. Le prix n'est pas excessif et surtout il est dégressif. Plus on commande, moins on paye cher le bandana à l'unité ! 

    Pour exemple, un bandana coûte 5,50€ à l'unité mais par lot de 10 il ne revient qu'à 3,85€ ! Et franchement, 10 ça n'est pas de trop, d'ailleurs j'ai passé plusieurs commandes de ce type et je n'ai jamais été déçue ! J'ai mes fils ont une jolie collection de bandanas que l'on peut assortir aux différentes tenues. 

    Et, chose primordiale, la qualité est là ! Le tissu est épais et ne transperce donc pas. La doublure est en polaire mais il existe aussi des modèles été avec une doublure en coton plus fine donc. Et ils sont attachés par des pressions donc difficiles à enlever pour les petites mimines.

    Depuis ma première commande, j'ai découvert que d'autres enseignes font des bandanas mais je n'ai jamais été tentée de tester jusqu'à dernièrement. Ceux que j'avais vu avant étaient tristes et les prix assez élevés par rapport à Funky Giraffe. Là j'en ai trouvé des moins chers avec des motifs sympas donc j'en ai pris 2 lots. Ils ne bougent pas au lavage, mais la qualité n'est vraiment pas la même. L'épaisseur du tissu est différente et du coup ils tiennent moins bien et ont tendance à rouler sur eux-mêmes. 

    Résultat des courses, après ce test décevant j'ai repassé commande chez Funky Giraffe pour ne plus avoir de mauvaises surprises ! D'autant plus que j'ai du me séparer de plusieurs bandanas puisque Dad en Vrac s'en sert parfois comme bavoirs, surtout quand les petits monstres mangent de la bolognaise ou du chocolat ^^. Autant vous dire qu'ils avaient bien morflés. 

    Et, la super nouvelle du jour qui légitimera ce gros pavé, c'est que chez Funky Giraffe ils sont tellement sympas qu'ils vous offrent un lot de 5 bandanas au choix !! 

    Pour participer, il vous suffit de :

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    Et croisez les doigts wink2

    Vous pouvez également invitez vos ami(e)s en commentaire pour leur donner une chance.

    Concours réservé à la France Métropolitaine

    Une seule participation par personne

    Toutes les conditions doivent être remplies pour que la participation soit valide.

    Fin du concours le mercredi 18 novembre à 21h

    Mon indispensable [Concours Inside]


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